I wish I had a dark sea, Brittany Nelson

L’artiste s’approprie des techniques photographiques du XIXe siècle pour aborder les genres de la science-fiction féministe et de l’abstraction queer. En s’intéressant à la notion d’anomalie dans le processus photographique, l’artiste interroge la question de représentation, de l’idéal photographique et de représentation du réel. Dans ses œuvres, Nelson s’appuie sur des images tirées des archives de la NASA aussi bien que sur l’histoire d’écrivaines comme Alice B Sheldon – qui a écrit sous pseudonyme masculin .

L’artiste nous offre un paysage où coexistent utopies, voyages spatio-temporels, science-fiction et théories féministes.

L’exposition présente des œuvres existantes ainsi que de nouvelles productions de l’artiste américaine qui sera en résidence à Saint-Fons courant mars.

Brittany Nelson est représentée par la galerie Patron Gallery (Chicago, États-Unis)

 

À l’occasion du festival du Mai d’Adèle, le CAP  prolonge le finissage de l’exposition  I wish I had a dark sea  de l’artiste américaine Brittany Nelson. L’occasion d’une première ouverture du jardin cultivé par Lundy Grandpré dont les incursions ponctuent la programmation du CAP depuis le début de l’année et dont la recherche artistique rejoint des questions au cœur de l’exposition.
Pour le Mai d’Adèle Lundy Grandpré vous invite à découvrir une boisson fabriquée avec les plantes qu’iel a cultivé dans le jardin du centre d’art et que vous pourrez déguster lors d’un apéro festif et printanier.

 

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